Une étude, réalisée au cours du printemps 2019 sur 150 parcelles de l’Avesnois, montre que dans 50% des cas les plantes souffrent d’un déficit en potasse, limitant certainement les rendements. Pourtant, la moitié de ces prairies avait reçu des effluents d’élevage. A l’inverse, dans la grande majorité des cas, l’indice phosphore est satisfaisant. Ce constat peut sans grand risque d’erreur être élargi à l’ensemble des autres territoires.