Grâce à ce système, pendant 3 mois de février à avril, il est « dans » les vêlages. « Je suis concentré sur une seule tâche, je n’ai pas à penser à mettre de l’engrais, je n’ai pas de chaleurs à surveiller. Je suis assez organisé et ça se passe bien même avec 10 à 12 vêlages par jour », indique-t-il.
Le mois de mai est consacré aux inséminations qu’il réalise lui-même avant de mettre le taureau avec les vaches jusque fin août. Son frère participe avec lui, en prestation de services, aux travaux des foins qui se cumule avec la période d’insémination. Il en délègue également une partie à une entreprise.
En septembre, il réalise des échographies et des Gestatests, tests de gestation dans le lait, afin de trier les animaux pleins ou pas. La difficulté est alors de se séparer des vaches qui ne sont pas gestantes, « il ne faut plus trop faire de sentiment », semble-t-il regretter.